Ben Ali, un nom lourd à porter

Son seul défaut, c’était de s’appeler Ben Ali. Borhène -de son prénom, directeur régional de l’Office du tourisme tunisien à Lyon, ne pourra plus occuper le poste auquel il était affecté sous le statut de recruté local. Ainsi en a décidé l’administration centrale du tourisme à Tunis qui vient de mettre fin à son contrat qui le liait à l’ONTT.
Critiqué par certains pour être resté à ce poste pendant 19 ans, ceux qui on côtoyé Borhène Ben Ali attestent cependant que le personnage « n’a jamais usé de son pouvoir mais a toujours fait preuve de correction et d’assiduité ».
Le tourisme tunisien perd certainement l’un de ses meilleurs défenseurs mais qui n’aura pas pour autant pu éviter d’être entraîné dans le sillage de la chute du régime de son cousin.
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